Alors que le Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS), organisme dépendant du ministère de l'Intérieur, et la SAS Euro 2016, la société organisatrice de l'événement, ont étalé jeudi leur désaccord sur l'avenir des fan-zonesdans les dix villes hôtes de la compétition après les attentats de Paris, le maire de Toulouse explique vendredi au Parisien - Aujourd'hui en France qu'il «penche pour ne pas en installer».